mardi 4 mars 2008

Lettre de Francis B.

Monsieur le Maire,

A lire les uns les autres j’ai l’impression d’habiter une ville ou l’apocalypse vient de ce produire. Je dois être aveugles ou un optimiste invétéré. Mois qui pensais être un horrible réaliste.
Je ne vais pas entrer dans les détails de la gestion financière de la ville à laquelle j’appartiens depuis seulement 10 ans. De quel droit d’une d’ailleurs n’ayant ni toutes informations et n’étant pas compétent.


Quand à ceux, qui sont les adversaires de la liste que vous conduisez actuellement, qui étaient sensé être au courant des affaires communales, j’ai une question à leur poser.Pourquoi donc avoir garder le silence jusqu'à ce jour ? Pourquoi n’ont t’il pas démissionné
La sagesse populaire dit, qui ne dit mot consent !Je pense que pour les conseillers faisant partie de votre majorité à l’époque, leur devoir est d’être solidaire des résultats de la gestion, puisque qu’implicitement ils étaient d’accord.Que désormais ils mettent en avant leur projet de gestion de la cité ainsi les électeurs seront éclairés sur leurs réelles intentions.


A ceux de l’opposition, qui prétendent être informé, je dirais pourquoi ce mutisme, pourquoi ce pas manque de combativité ? Comment vous donner ma confiance ?
A tous je dirais cela suffit. Les belles promesses et les déclarations d’intentions ne suffisent plus désormais à me faire rêver. Je vois au niveau national le résultat de ces comportements en ce moment même.


Certes rien n’est parfait et personne ne pourra jamais prétendre réussir cela. Mais je pense sincèrement que la ville est plutôt bien gérée. Je laisse donc les détracteurs à leurs états d’âmes. Peut être espèrent t’ils faire une carrière politique. Je peux le comprendre et c’est nécessaire pour le pays. Alors qu’ils prouvent leurs réelles capacités à se battre dans l’abnégation et dans l’intérêt du collectif.


Qu’ils présentent leurs projets, si ils en ont, avec de vraies dépensent et recettes. Mais cela bien avant le moment des élections municipales. Afin de donner aux citoyens les moyens de réellement apprécier leur volonté d’agir pour la collectivité plutôt que dans leur seul désir d’obtenir le pouvoir. Certes ils me diront que leurs adversaires politiques s’inspireront de leurs idées. Et alors ! C’est cela l’abnégation et le désir réel de servir la collectivité.
Cordialement et avec respect.


Francis B.